Virements bancaires, Mairie et cours administrative
On avait initialement prévu deux semaines de repos après un début d’année scolaire chargé et un début d’année civile qui s’annonce de même. On avait oublié que certaines actualités saisonnières allaient nous rattraper…
La première concerne le piratage de certaines mairies la veille du nouvel an. Maëlane LOAËC (Le Parisien [1]) et Tom IMLER (RMC) se sont demandés ce qu’il se passait techniquement (un déni de service des sites webs du à de trop nombreuses requêtes), si c’était grave (pas vraiment, ce ne sont que les portails de communication) et ce qu’on pouvait y faire (redonder si c’est important, patienter sinon, donc patienter).
L’autre concerne la gratuité des virements bancaires depuis le nouvel an. Mathieu RIO (Télématin [2]) s’est demandé si ça allait augmenter le risque de fraudes (oui, parce que ça augmente l’impulsivité et qu’une fois le virement fait, on ne peut plus récupérer l’argent sans exécution d’un jugement judiciaire).
La dernière est une bonne nouvelle pour les arsouyes (et, modestement, le monde entier en général), notre candidature pour intégrer la liste des experts auprès de la cours administrative d’appel de Toulouse a été acceptée[3]. En plus des particuliers et des entreprises, nous pouvons maintenant intervenir dans les litiges avec les services de l’État.
Surtout, ça signifie qu’en plus d’être inscrits dans toutes les catégories informatiques, nous le sommes dans tous les ordres juridictionels. Plus simplement : qu’importe la situation litigieuse, on peut intervenir 🎉️.
Tout comme les pompiers, nos clients sont heureux de faire appel à nous (mais préfèraient ne pas avoir à le faire). Contrairement aux pompiers, nous ne vendons pas de calendriers pendant les fêtes mais vendons des livres toute l’année (si c’est pas un CTA tout pourri, je sais pas ce que c’est).